تشكيـل..
الوقائـع الفنـي
Double distinction attribuée à
l’artiste Abdel-Ilah Chahidi
L’art
marocain et africain honoré en Italie
L'artiste
plasticien Abdelilah Chahidi a été primé récemment, à titre de consécration et de mérite, par l’Académie internationale des Arts, dans
la ville italienne Lecce, et ce lors d'une cérémonie solennelle qui s'est
déroulée, récemment, dans un célèbre
espace renaissant en l'Italie à l'issue d’une cérémonie conviviale à laquelle ont pris part notamment des
personnalités italiennes et étrangères du monde des beaux-arts et de la
culture.
Khalil
Rais
Honorant
à la fois l’art marocain et l’art africain dans la catégorie «Arts plastiques»,
Abdelilah Chahidi a bien voulu engagé sa peinture néo réaliste
dans la lutte pour les droits de la femme à travers l’art plastique
onirique , la ce qui , lui a valu le «Prix Guerrieri di Riace» (Les Guerriers
de Riace) pour sa touche artistique
inédite , et le «Prix Victor Hugo» pour
son acte pictural défendant les
droits de la femme, ses conditions existentielles loin des stéréotypes
sociétaux.
Dans
ce cadre méritoire, Abdelilah Chahidi a
présenté plusieurs toiles originales en
l’occurrence sa toile «Impressions
féminines» lors du vernissage organisé
par l’Académie italienne en partenariat avec l’Université Degli Studi de la
République San Marino : une toile qui vcille entre le néo réalisme et le
surréalisme, et qui se veut un pacte visuel
impressionnant dans le meme
sillage de sa toile éloquente «Femme bougie» qui était en lice pour entrer au
Musée de l’UNESCO.
Cette double distinction a été attribuée à cet
artiste humaniste en reconnaissance de ses talents, de son potentiel créatif pluridisciplinaire (peinture,
sculpture, décoration…) et de ses
mérites artistiques à l’échelle internationale.
S'exprimant
à cette occasion, Abdelilah Chahidi
s'est dit " fier d'être nominé à ces prestigieux prix
internationaux " et d'avoir été
récompensé pour ses œuvres d’une grande valeur expressive et intrigante ,
soulignant que son art allégorique
est dédié à la femme
en général et à
ma mère en particulier : la femme qui
demeure le symbole idéalisé de la vie et de l’existence voire la muse de tous
les artistes de renommée mondiale.
Sa
peinture repose sur des mélanges de pigments provenant du Sahara
marocain à travers des techniques
mélangées relevant de la chimie, ce qui cadre avec
son principe conducteur et directif : « conflit de matières ».
Auteur
des couleurs qui changent en fonction
des horaires de la journée et des moments nocturnes, Abdelilah Chahidi
Sur
son acte pictural, Hassan Laghdache ( professeur chercheur
et passionné d’art) a écrit : «
Prise dans une tendance de relativisation, l’œuvre de Chahidi Abdelilah
est un regard sensible ; un art délibérément subjectif avec une tendance
profonde à composer organiquement la matière. On assiste, désormais, à un
véritable foisonnement de mouvements explorant des pratiques fécondes qui
souvent se croisent et s’opposent dans un cinétisme onirique. En effet, l’œuvre
de Chahidi, par son apparence néoréaliste, se concentre sur le mouvement, la
couleur et les effets plastiques, qui font partie de ce nouveau regard sur
l’objet/ femme. Contrairement à un surréalisme exubérant, L’artiste cherche à
attirer l’attention sur des inégalités. Une mise en cause systématique du
statut de la femme. Cela suppose souvent La transgression des interdits, la
provocation, une place laissée au hasard et à l’inconscient, contre le souci normatif
de la figuration et l’élaboration lyrique d’un expressionnisme abstrait. Dans
le même temps, on assiste à une transformation de la figure de L’artiste lui-
même, un artiste « anticonformiste » aux caractéristiques abstraites on
figuratives, mais en même temps, échappe aux clichés phallocratiques. Ainsi, le
tableau déconstruit à la fois l’idéal mimétique et l’éternel masculin à travers
la représentation de la figure féminine . Encore est-il que Chahidi ne
transforme pas seulement les techniques de la production de l’œuvre, mais aussi
sa réception. Les matériaux de composition sont utilisés pour travailler des
mouvements et deviennent matériaux. La phosphorescence des œuvres de Chahidi
ainsi que leur pigmentation naturelle restituent le matériau vivant et le
transforment en un projet plastique indépendant. Faire du tableau une molécule
lumineuse et organique accorde au réel une nouvelle perspective. Son œuvre
consiste à prélever dans l’ambiance atmosphérique des convergences profondes
entre figure féminine et représentation plastique. On est face à un réalisme
magique qui nous invite à nous concentrer sur l’intériorité. ».
Il
est à rappeler qu’Abdel-Ilah Chahidi a pris part à la quatrième édition du
Salon d’Automne d’Amérique latine à Sao Paolo aux côtés de 119 autres artistes
des quatre coins de la planète. Il a représenté
le Maroc dans l’un des rendez-vous phares de l’art contemporain de par
le monde : Tokyo International Art Fair au Japon en mars 2017. Mais bien avant,
le plasticien a exposé ses œuvres récentes à Florence en Italie. L’artiste, qui
fait partie depuis un an déjà de la «Mondial Art Academia», avec le titre d’ambassadeur
au Maroc ( voir un beaux livre édité par cet organisme au titre de
l’année 2017-2018) , en reconnaissance de son parcours riche et sa recherche
plastique perpétuelle, a reporté le prix de « meilleure œuvre selon les
galeries d’art ». Abdel-Ilah Chahidi a remporté le grand prix de la catégorie «
peinture surréaliste » au titre de la compétition « meilleure œuvre plastique arabe
dans le monde » (le trophée mondial des créateurs arabes) dans le cadre du
Forum International des arts plastiques « Art London International Exhibition
& Award » initié par l’organisme mondial des prix créatifs Arabs Group et
parrainé par le centre culturel de l’Ambassade d’Egypte au centre de la
capitale britannique. Notre artiste
talentueux est invité, en janvier 2018,
par le Jury de l’un des plus prestigieux Prix dans le monde des arts, à savoir,
le Prix international Leonardo Da Vinci.
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